LES SUBLIMES LUMIÈRES DU MAÎTRE ÉCOSSAIS DE SAINT-ANDRÉ Dominique VERGNOLLE
€37.00
Après une première amorce de révision du grade d’écossais vert, opérée en 1777, il faudra plus de trente ans à Jean-Baptiste Willermoz pour finaliser ce qui deviendra alors le grade de maître écossais de Saint-André, quatrième et dernier grade de la maçonnerie du Rite Écossais Rectifié.
Tout en s’inspirant de nombreux éléments de l’écossisme français traditionnel, ainsi que de l’écossais allemand de la Stricte observance, son auteur lyonnais y exprimera la nature profondément chrétienne et martinésiste de la rectification du régime maçonnique allemand opérée aux convents des Gaules en 1778 et de Wilhelmsbad en 1782.
Grade indispensable à la compréhension des sublimes lumières de la doctrine du rite, il en est la quintessence et l’expression la plus mystique et accomplie. Il constitue en même temps le véritable testament maçonnique et illuministe de Willermoz.
Grade indispensable à la compréhension des sublimes lumières de la doctrine du rite, il en est la quintessence et l’expression la plus mystique et accomplie. Il constitue en même temps le véritable testament maçonnique et illuministe de Willermoz.